dimanche 25 janvier 2009
La relève de Big Blue est assurée
Le Lian-Li PC-888 est un boitier tour pour PC proprement gargantuesque. Construit essentiellement en aluminium anodisé, le Lian-Li PC-888 imite la forme d’une voile, et exploite également la puissance du vent pour conserver ses entrailles aux frais… une fonctionnalité intéressante pour refroidir les 11 disques en 5,25″ qu’il peut accueillir, protégés des poussières par des filtres amovibles.
Cette machine déguisée en bleu électrique fera un serveur ou une armoire RAID de toute beauté. Seulement 500 exemplaires seront produits au prix de 500 $ l’unité. Ce n’est pas donné, mais il n’y a pas non plus d’équivalent avec un pareil style sur le marché. Ce truc est en effet une analogie assez réussie du Burj Al Arab de Dubai.
Un cocon pour s’immerger en réalité virtuelle
Ce véhicule d’un nouveau genre, récemment montré dans un salon à Tokyo, a quelque chose de Ghost in the Shell mâtiné d’un cocon d’alien.
Les pilotes entrent dans le véhicule en ouvrant la partie supérieure du cocon pour s’installer dans ce qui ressemble à un cockpit futuriste.
Un large écran sphérique disposé en face de la partie supérieure du corps du pilote l’immerge ainsi dans une réalité virtuelle panoramique.
La machine, qui est encore au stade du prototype, ne peut pour l’instant accueillir que des pilotes de moins de 60 kilos. Selon le reporter, être à l’intérieur donne l’impression de vivre dans un jeu vidéo géant. Euh, ou est-ce qu’on signe pour essayer ce truc?
Les pilotes entrent dans le véhicule en ouvrant la partie supérieure du cocon pour s’installer dans ce qui ressemble à un cockpit futuriste.
Un large écran sphérique disposé en face de la partie supérieure du corps du pilote l’immerge ainsi dans une réalité virtuelle panoramique.
La machine, qui est encore au stade du prototype, ne peut pour l’instant accueillir que des pilotes de moins de 60 kilos. Selon le reporter, être à l’intérieur donne l’impression de vivre dans un jeu vidéo géant. Euh, ou est-ce qu’on signe pour essayer ce truc?
Bientôt du transfert de fichier en Bluetooth sur iPhone
Vous pouvez compter sur les programmeurs rebelles et sur Cydia -l’équivalent indépendant de l’App Store iTunes— pour vous apporter l’une des fonctionnalités les plus attendue sur l’iPhone: le transfert de fichiers Bluetooth.
Ainsi que vous pouvez le voir sur la vidéo (en italien dans le texte), iBluetooth vous permettra à terme de transférer vos fichiers vers n’importe quel autre appareil Bluetooth.
Ici l’applicaton développée par MeDevil fonctionne avec un iMac et un téléphone portable Sony Ericsson. Mais une fois qu’elle sera terminée et disponible via Cydia, elle fonctionnera avec tout appareil supportant le protocole de transfert de fichiers Bluetooth.
Ainsi que vous pouvez le voir sur la vidéo (en italien dans le texte), iBluetooth vous permettra à terme de transférer vos fichiers vers n’importe quel autre appareil Bluetooth.
Ici l’applicaton développée par MeDevil fonctionne avec un iMac et un téléphone portable Sony Ericsson. Mais une fois qu’elle sera terminée et disponible via Cydia, elle fonctionnera avec tout appareil supportant le protocole de transfert de fichiers Bluetooth.
samedi 24 janvier 2009
Le Projet E-Gouvernement en Algérie .....
Le Projet Gouvernement électronique en Algérie
La longue marche vers le numérique
La mise en place d’un réseau intranet gouvernemental est à un taux d’avancement de 80%. Le e-gouvernement est de plus en plus une réalité dans le monde.
Il consiste en l’utilisation par l’Etat des nouvelles technologies pour assurer la marche régulière des services publics tant pour son fonctionnement interne qu’en faveur des usagers. Il ne s’agit pas du gouvernement « traditionnel » auquel on aurait rajouté l’internet, mais d’un processus radical de changement de la manière dont l’Etat travaille et communique. Les pays les plus avancés en matière d’ouverture, d’efficacité du secteur public et de déploiement de l’administration en ligne sont aussi parmi les premiers en termes de performances économiques et de compétitivité. Cette corrélation entre compétitivité nationale, force d’innovation et qualité des services publics démontre que dans l’économie mondiale améliorer l’administration est un impératif concurrentiel. Plusieurs pays sont avancés dans ce domaine (Canada, Singapour, Egypte et Emirats arabes unis). Les Nations unies établissent un modèle en cinq étapes pour mesurer l’état de préparation. Une présence émergente sur le réseau par le biais d’un site officiel, d’un portail d’accès national ou d’une page d’accueil officielle, liens avec les ministères, les institutions locales, régionales ou avec les ramifications gouvernementales n’ayant pas de fonctions exécutives, l’information y est statique et basique. Ensuite, on passe à la présence accentuée : les services en ligne sont renforcés et incluent des bases de données ainsi que des archives ou des sources d’accès à l’information (registres de lois et de règlements, rapports, lettres électroniques). La troisième étape est la présence interactive : possibilité de télécharger des documents en ligne, liens sécurisés, possibilité de signature électronique, des services audio et vidéo sont proposés. Juste après viennent la présence transactionnelle et la présence en réseau ou l’établissement d’une relation entre le gouvernement et les utilisateurs de services électroniques se fondant sur les informations, le savoir et les services fournis par les institutions publiques. Où en est-on en Algérie ? Force est de reconnaître qu’on est en retard. La mise en place d’un réseau intranet gouvernemental est à un taux d’avancement de 80%. « Les projets pilotes de e-gouvernance engagés récemment dans le secteur de l’éducation (e-école) et dans les collectivités locales (e-commune) sont le prélude à la production de contenus en ligne à grand volume », a souligné Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Pour mener à bien cette tâche, le gouvernement s’est doté d’un outil, à savoir la e-commission, dont le rôle est de promouvoir le développement des TIC, afin de faciliter la vie quotidienne des citoyens et de créer les conditions de modernisation et de rentabilisation des entreprises. Après avoir établi l’état des lieux, la e-commission avait défini, fin 2004, un plan d’action qui couvre la période 2005-2010 et qui prévoit un accroissement très significatif du nombre de clients à la téléphonie fixe, à la téléphonie mobile, à l’ADSL, conjugué avec des réductions de frais d’accès ou de droits d’usage. Pour traiter ce sujet, l’Association algérienne des technologies de l’information (AITA) animera une conférence le 7 mai prochain à Alger, un événement sponsorisé par IBM Algérie.
La longue marche vers le numérique
La mise en place d’un réseau intranet gouvernemental est à un taux d’avancement de 80%. Le e-gouvernement est de plus en plus une réalité dans le monde.
Il consiste en l’utilisation par l’Etat des nouvelles technologies pour assurer la marche régulière des services publics tant pour son fonctionnement interne qu’en faveur des usagers. Il ne s’agit pas du gouvernement « traditionnel » auquel on aurait rajouté l’internet, mais d’un processus radical de changement de la manière dont l’Etat travaille et communique. Les pays les plus avancés en matière d’ouverture, d’efficacité du secteur public et de déploiement de l’administration en ligne sont aussi parmi les premiers en termes de performances économiques et de compétitivité. Cette corrélation entre compétitivité nationale, force d’innovation et qualité des services publics démontre que dans l’économie mondiale améliorer l’administration est un impératif concurrentiel. Plusieurs pays sont avancés dans ce domaine (Canada, Singapour, Egypte et Emirats arabes unis). Les Nations unies établissent un modèle en cinq étapes pour mesurer l’état de préparation. Une présence émergente sur le réseau par le biais d’un site officiel, d’un portail d’accès national ou d’une page d’accueil officielle, liens avec les ministères, les institutions locales, régionales ou avec les ramifications gouvernementales n’ayant pas de fonctions exécutives, l’information y est statique et basique. Ensuite, on passe à la présence accentuée : les services en ligne sont renforcés et incluent des bases de données ainsi que des archives ou des sources d’accès à l’information (registres de lois et de règlements, rapports, lettres électroniques). La troisième étape est la présence interactive : possibilité de télécharger des documents en ligne, liens sécurisés, possibilité de signature électronique, des services audio et vidéo sont proposés. Juste après viennent la présence transactionnelle et la présence en réseau ou l’établissement d’une relation entre le gouvernement et les utilisateurs de services électroniques se fondant sur les informations, le savoir et les services fournis par les institutions publiques. Où en est-on en Algérie ? Force est de reconnaître qu’on est en retard. La mise en place d’un réseau intranet gouvernemental est à un taux d’avancement de 80%. « Les projets pilotes de e-gouvernance engagés récemment dans le secteur de l’éducation (e-école) et dans les collectivités locales (e-commune) sont le prélude à la production de contenus en ligne à grand volume », a souligné Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Pour mener à bien cette tâche, le gouvernement s’est doté d’un outil, à savoir la e-commission, dont le rôle est de promouvoir le développement des TIC, afin de faciliter la vie quotidienne des citoyens et de créer les conditions de modernisation et de rentabilisation des entreprises. Après avoir établi l’état des lieux, la e-commission avait défini, fin 2004, un plan d’action qui couvre la période 2005-2010 et qui prévoit un accroissement très significatif du nombre de clients à la téléphonie fixe, à la téléphonie mobile, à l’ADSL, conjugué avec des réductions de frais d’accès ou de droits d’usage. Pour traiter ce sujet, l’Association algérienne des technologies de l’information (AITA) animera une conférence le 7 mai prochain à Alger, un événement sponsorisé par IBM Algérie.
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jeudi 15 janvier 2009
Comment vous débarrasser des logiciels malveillants sur Windows XP ?
La sécurité de votre PC passe bien souvent par des outils bien adaptés et une vigilance accrue. Mais vous avez peut-être de la chance, car vous disposez peut-être sans le savoir de l'outil de suppression des logiciels malveillants de Microsoft.
Il vous suffit d’avoir dans le passé (lors de la première mise en marche) installé le Service Pack 2 de Windows XP et que vous avez activé les mises à jour automatiques. Ce petit programme vous permet d'analyser votre disque dur à la recherche de logiciels espions et de les supprimer. Pour l’exécution de ce logiciel c’est simple :
1. cliquez sur le bouton Démarrer puis sur Exécuter.
2. Dans le champ Ouvrir, saisissez la commande mrt /F puis pressez la touche Entrée.
3. Dans la fenêtre qui apparaît, cliquez sur le bouton Suivant pour démarrer l'analyse minutieuse de votre ordinateur.
4. Une fois cette opération terminée, le programme vous indique les espions qui ont été détectés et supprimés.
Facile mais pratique ;) à vous d'essayer
www.nourie.c.la
Il vous suffit d’avoir dans le passé (lors de la première mise en marche) installé le Service Pack 2 de Windows XP et que vous avez activé les mises à jour automatiques. Ce petit programme vous permet d'analyser votre disque dur à la recherche de logiciels espions et de les supprimer. Pour l’exécution de ce logiciel c’est simple :
1. cliquez sur le bouton Démarrer puis sur Exécuter.
2. Dans le champ Ouvrir, saisissez la commande mrt /F puis pressez la touche Entrée.
3. Dans la fenêtre qui apparaît, cliquez sur le bouton Suivant pour démarrer l'analyse minutieuse de votre ordinateur.
4. Une fois cette opération terminée, le programme vous indique les espions qui ont été détectés et supprimés.
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